Du 8 juillet au 28 juillet 2013
J1 – Un tour du globe
15h35 décollage pour Dubaï. L’hémisphère de notre destination est plongée dans le noir, alors que nous volons sous un soleil radieux. De longues heures de vols et de patience nous attendent. Le début c’est toujours l’euphorie du voyage, tout est formidable. Chacun se cale, trouve ses marques pour se blottir et s’accompagner pour 23 heures. On a sorti la batterie de films, de musiques, quelques petits bon becs, des pages de livres, téléchargé des nouveaux jeux sur l’iPad … Occuper ces longues heures pour déjouer les crampes, le mal de dos et pourquoi pas trouver le sommeil, histoire de faire passer quelques heures.
Les heures s’écoulent doucement.
Au fil des kilomètres, Vienne, Istanbul …
Au fil des fuseaux horaires le ciel s’assombrit .
Londres 17h20,Moscou 20h20, Sydney 2h20
Les paupières s’alourdissent, mais nous devons résister pour le deuxième vol qui sera bien plus long.
Dubaï et ses démesures. Les halls tels des buildings décorés de cascades sur toute la hauteur. Passer d’un terminal à un autre a au moins un avantage, rien que les 20 mn de marche dégourdissent les jambes. Mais l’escale est de très courte durée.
2h20 (heure locale), de nouveau à bord d’un A380, nous allons enfin pouvoir dormir alors que le jour se lève à Sydney. 12056 km et 14h de vol restent à parcourir. Arrivée prévue pour 22h ( heure locale soit 8 de plus qu’en France), le globe aura fait un tour. Bonne nuit à tous.
22h15 le mastodonte glisse sur la piste, la fraîcheur se fait sentir à la descente de l’avion.
Passeports tamponnés, nous voilà enfin en Australie.
J2 – Sydney, ville d’océan et de lumières
Promenade dans Sydney Harbour , l’opéra nous happe le regard avec sa coquille évoquant les voiles d’un bateau qui se reflètent dans la baie.
Le quartier des Rocks où le discovery muséum invite à feuilleter la riche histoire des Rocks. Le Sydney aquarium arrimé dans le port vaut le détour pour sa faune marine (requins, raies et des centaines de poissons dont il est impossible de mémoriser tous les noms.)
Bon on a eu droit à un aller retour sur Balmain Bay en ferry. Une soit disante rue très animée pour le soir avec pub et restaurant. BUG ! C’était le quartier résidentiel par excellence, où pas un passant ne se promenait après le coucher du soleil (17h30). Bref histoire de se restaurer, nous sommes retourner sur le Harbour.
Alors à la demande générale, première question du quiz voyage Australie . Pour certains l’opéra évoquent les voiles gonflées d’un yacht, mais d’autres habitants y voient autre chose. Quelle est cette seconde interprétation?
J3 – Manly, northen beaches
Après un détour par le marché au poisson, nous sommes allés profiter de la plage de Manly. Même au plus fort de l’hiver (19 degrés), les surfeurs sont là et quelques baigneurs. Ambiance bien sympa, on profite du soleil et pour marcher l’hiver australien nous va bien.
Quiz 2 : qu’est ce que les australiens s’apprête à fêter à la mi juillet et comment appellent ils cet événement?
J4 – Les blue Mountains
C’est parti pour une journée découverte de l’arrière pays de Sydney.
On commence par le site olympique des années 2000. À la différence de la Grèce, les australiens continuent après 13 ans à faire vivre le site, véritable réinvestissent des lieux. La matinée se prolonge avec nos premières rencontres d’animaux australiens, koala, kangourous, walibis, le diable de Tasmanie etc.
Puis les spectaculaires montagnes bleues s’offrent à nous. Grandioses, nous voilà bien petit dans cette étendue de roche. Le timide soleil tente d’accrocher les parois, les plus belles photos ne seront pas pour aujourd’hui, dommage.
N’oublions pas un super petit resto » le bon ton », plats copieux et dégustation d’un dessert spécialité le pavlova ( coupe à base de crème et de fruits meringué), un délice.
Cette grande journée est propice à plusieurs questions pour le quiz voyage car notre guide Robert nous ravie d’histoires et d’anecdotes.
– D’ou vient le nom des blues montains ?
– En représentation de quoi l’Australie a choisi le jaune et le vert comme couleurs du pays ?
– À quoi le koala (qui dort 20 heures par jour) doit-il son nom ?
– Vous avez dit kangourous ? D’où vient ce nom ?
– Et pour finir, les armoiries de l’Australie sont avec un kangourou et un émeu. Pourquoi ont ils choisi ces 2 animaux comme emblème?
J5 – L’Outback
3000 km pour arriver au centre rouge. Vive l’avion! Le climat change radicalement avec 27 degrés. Le centre rouge et brûlant comme enflammé par le soleil nous accueille.
Kata tjuta, immenses rocks avec 36 dômes, c’est énorme, spectaculaire, époustouflant de beauté … Le soleil vient caresser la pierre qui prend une variation d’ocre au fil du soleil couchant, grandiose.
Étape à l’outback pionner. Simple, très accueillant, décor un peu western. Mais le must c’est le pionner BBQ., un vrai concept. Des grandes tables conviviales, assiettes en inox, un immense coin avec une dizaine de barbecues. On choisi d’abord sa viande ( brochette de kangourous ou de crocodile, steack etc) et chacun s’occupe de sa cuisson. Les pommes de terre ou salade d’accompagnement sont a volonté. Et n’oublions pas un bon crumble pour finir. Top, ambiance decontracte. Dodo de bonne heure pour être au top, c’est à dire au lever du soleil à Uluru demain matin.
J6 – La magie d’Uluru
La montagne sacrée trône au milieu de nul part. Comme un iceberg seul un dixième de sa masse émerge. Au lever du soleil, les clichés fusent, histoire de garder une trace des multitude de couleurs par lesquelles passe le rock : rosée, violet, pour finir ocre quand le soleil commence à le caresser. La magie s’opère, et on ne regrette pas le réveil matinal.
Après un pique nique sous les voiles d’Ayers rock resort, il est temps de prendre la route pour les 314 km qui nous sépare de Kings Canyon.
J7 – Kings canyon / Glen Helen
Kings canyon est une profonde faille de 270m sur environ 2km. Au choix deux randos, une donnée comme difficile d’environ 4h et abrupte. Une autre qui nous emmène au creux de la faille d’environ 1h. Les jambes fatiguent un peu avec la rando d’Uluru donc la deuxième option sera la bonne. Pris entre les parois du canyon, la ballade s’enfonce dans la gorge. On a envie d’être tout là-haut sur les crêtes, mais voilà ce qu’il advient pour les fenians.
Avant d’attaquer les 285 km de pistes, on essaye de prévoir le pique nique. Alors avis à tous ceux qui traineront par la, Kings canyon, il n’y a RIEN. Pas un café pour le matin, et tout juste de quoi prévoir la pause du midi. Par contre, qui dit zone désertique, dit prix de l’essence doublée. C’est bon à savoir.
Direction Glen Helen, où nous sommes ravis d’avoir le 4×4, la piste n’a rien de simple.
Au bout, on arrive dans un décor de western. Le gîte est situé au cœur des gorges, avec des coins baignades bien sympa. Mais c’est sans compter que l’eau manque considérable ou qu’elle est glacée quand il y en a. Bref on en restera au plaisir des yeux.
Ouf qu’elle nuit! Quand on dit ambiance western c’est dans sa totalité. Les lits étaient aussi « western » c’est a dire bien assez vieux pour avoir la marque des ressors dans le dos. À la dur comme a la dur !
J8 – Glen Helen / Alice Springs
La rosée est là même dans l’outback. Enfin un petit déjeuner digne de ce nom dans notre gîte western. À défaut d’une bonne nuit, on aura un café (enfin ce que nous tenterons d’appeler un café). Aujourd’hui au programme, des gorges et leurs trous d’eau pour tenter une baignade. Ormiston gorge, Ochre Pits, Ellery creek Bighole (une merveille avec un vrai bassin même si à cette saison l’eau manque). 11h l’heure idéale pour une ballade entre les falaises de Stanley chasm, et on finit par Simpsons Gap avant d’arrivée dans La ville emblématique de l’outback : Alice springs, centre névralgique de l’art aborigène.
J10 – Darwin
Après une dernière rencontre avec les kangourous dans le désert park, envol pour Darwin.
À la descente de l’avion les 10 degrés de plus nous saisissent. Soleil, chaleur, mer, on change radicalement d’ambiance, on retrouve comme une air de côté d’azur (mais sans la foule). Darwin entre les bombardements, les cyclones … n’arrête pas de se reconstruire ou d’aménager des nouveaux espaces.
On a pu enfin plonger une tête dans le lagon aménagé spécialement pour éviter les crocodiles de mer. Ça fait bizarre de s’imaginer qu’ils peuvent être de l’autre côté de la digue et que c’est une région où ils sont partout et donc sous surveillance. Demain direction la mangrove où nous les verrons de très prêt.
Manger, vaste programme en Australie. Les guides nous aident guère et franchement c’est toujours pareil. Vous avez le choix entre la restauration rapide ou les pub avec de la viande. Même au bord de la mer, impossible de trouver un resto de poissons ou de fruits de mer. De plus la restauration est hors de prix. Il faut compter entre 29 et 42 euros un plat principal. L’addition est donc salée à chaque resto si l’on rajoute un verre de vin et une boisson autre pour celle qui ne boit pas d’alcool ( vous avez devinez qui).
Alors ce soir en ville ambiance chapeau. On ne sait toujours pas ce que les australiens fêtent mais toutes ces dames ont des coiffes en tout genre. Qui a une idée?
J10 – Darwin / Kakadu National Park
Petite ballade matinale sur la marina de Darwin. Et oui c’était finalement là les restos de fruits de mer. Tant pis, le jus d’orange était top au soleil du matin.
Le plein de course pour faire qq pique nique et c’est parti pour Kakadu.
Un peu de route pour arriver dans le park national de Kakadu (patrimoine de l’UNESCO).
Au fil de la route toutes sortes de panneaux mettent en garde contre les crocodiles, ne pas s’approcher le l’eau, ne pas mettre sa vie en danger etc. Vous avez aussi des panneaux qui vous présentent les différentes sortes de moustiques, de serpents etc’
Après avoir tourné dans « l’immense ville » de Jabiru, on finit par trouver notre hôtel: le lakeview.
En général on passe par des agences locales uniquement pour les réservations d’hébergements et la location de voiture. Pour le reste , on se débrouille. Alors comment vous faire « ampapaouter » par votre agence ? Vous cherchez un hôtel et vous arrivez dans un camping. Là, certes c’est charmant avec des toiles de tente dans la forêt tropicale (je vous fais pas de dessin pour les moustiques), vous avez un coin barbecue collectif, et parsemés dans la forêt, des sanitaires. Mais le HIC c’est que vous n’avez rien pour faire du camping puisque vous étiez sensés être en hôtel. Pas de restauration, donc il faut trouver en vitesse une supérette, histoire d’avoir de quoi faire un petit déjeuner et manger ce soir. Nouveau HIC, les supérettes et tous les travailleurs s’arrêtent ici à 17h. Il nous reste donc 10 mn pour y aller. On fonce… Là vous achetez du beurre par 500g alors que vous ne restez que 2 jours, du sel pour mettre sur la viande etc. On est pas contre le camping, mais en étant prévenu, on aurait pu anticiper !
Un triomino, un steak et hop au lit (il n’y a rien d’autre a faire, si ce n’est se faire dévorer par les moustiques).
J11 – Kakadu national Park
Je vous passe le chapitre de la nuit dans notre magnifique tente. En forêt, les animaux vivent la nuit et puis à côté de vous, certains ont eu la chance que leur agence leurs réserve un bungalow avec clim, donc vous avez au bout de votre tête, le climatiseur des voisins. Tip top, ce matin on est à fond pour explorer Kakadu.
Petite marche et découverte des bras morts des rivières qui forment des billabongs, où fleurissent nénuphars et fleurs de lotus. Un régal pour la photo, mais interdiction de s’approcher du bord avec les risques de crocodiles. En vrai, j’ai un peu la trouille…
On continue à Nourlanjie rock et les peintures rupestres, un sentier de randonnée superbe, même si la grimpette est dure avec la chaleur étouffante.
Après midi réservé pour une navigation sur East Aligator River, et croyez nous les panneaux ne mentent pas, les crocodiles sont là. Ce n’est vraiment pas qu’un effet d’annonce. On réalise combien ils envahissent partout, surtout à la mousson où les routes sont immergées. Comptons qu’une femelle pond environ 64 œufs, même si plusieurs petits ne survivent, ça vous laisse imaginer la prolifération.
Notre guide aborigène nous a fait découvrir tout le long de cette navigation sa culture et ses traditions.
La journée s’achève avec le sunset sur Ubir Rock. Nouvelle petitegrimpette pour avoir un point de vue imprenable sur les billabongs. Ça vaut vraiment de coup.
Avec tout ça on est mort, alors peut être arriverons nous à dormir sous notre tente avec le bruit du climatiseur du voisin.
J12 – Yellow Water Cruise / Katherine / Nitmiluk
Départ très matinal, pour la Yellow water Cruise. Les bateaux glissent sur l’eau entre brume et lever du soleil. Le temps est presque suspendu. La nature s’illumine petit à petit, des oiseaux multicolores et bien sur les intarissables crocodiles. Une pure merveille cette croisière aux aurores. Le soleil joue avec nous, ou plutôt avec nos appareils photos. Que de beaux clichés en perspectives! La croisière s’achève avec un petit déjeuner copieux, ce qui nous permet de prendre la route direction Katherine (370km).
La ville de Katherine n’a rien qui vaille le détour. On continue jusqu’à Nitmiluk siège de notre campement. Nous sommes accueillis à l’arrivée, devant notre chalet, par quelques walibis. Ça fait super plaisir de les approcher, les caresser en pleine nature. On y croit pas, on s’attarde. Compagnie très sympathique.
J13 – Gorges Katherine
Situées dans le park national Nitmiluk, les gorges s’étendent sur 30km et 13 canyons se succèdent. Limité par le temps, nous avons opté pour une croisière de 2h, nous permettant de faire seulement 2 gorges. L’eau manque par endroit, donc nous le ferons en 2 étapes. La croisière plus longue avec étape baignade aurait pu être sympa, mais nous devons déjà reprendre la route pour Lake Bennett.
J14 – Litchfiekd national Park
Cascades spectaculaires au cœur de la forêt tropicale et trou d’eau pour se rafraîchir ( il fait très chaud). Les baignades sont enfin autorisées, c’est à dire sans risque de crocodiles, mais que dans les lieux indiqués comme tels. C’est dire si on en a profité.
Retour à Darwin par la piste. Dernière promenade sur la plage avant de s’envoler pour Cairns où d’autres aventures nous attendent pour notre dernière semaine.
J15 – Cairns
Découverte de Cairns située au pied de la forêt tropicale et à qq km de la barrière de corail. Comme Darwin, elle a installé son lagon au cœur de la ville. Esplanade, verdure, beaucoup d’espace partagés entre les promeneurs et les sportifs.
Fini le 4×4, on a récupéré une voiture de kéké, une Ferrari façon coréenne. Il nous fallait un escabeau pour monter dans le 4×4, maintenant c’est au chausse pied que l’on rentre dans notre nouveau carrosse. Mais le pire c’est d’en sortir.
L’après midi nous avons tenté la découverte de Katmandou. Ah non excusez nous de Karunda. C’est presque pareil. Mais oh stupeur, la bas ils ne ferment pas à 17h comme partout en Australie, mais à 15h30. Bref on a fait chou blanc. Retour par la route côtière histoire de voir les belles plages. Et la, encore les panneaux d’alerte, mais cette fois pour les crocodiles de mer et les méduses. Bref on la trouve moins belle la plage, et pourtant …
J16 – Croisière et plongée sur la Michaelma’s cays
Journée cap horn sur le reef, vent vagues et embruns… Un petit vent force 6/7 pas l’idéal pour profiter des lagons d’eau paisible et du snorkling sur les récifs coralliens. Plongée agréable bien qu’un peu trouble, mais il ne fallait pas louper ça sur la barrière de corail.
Retour en croûte de sel ( en gros on s’est bien fait secouer).
Karunda ouvert ça vaut le coup rien que pour le fun. Le village s’est comme transformé en une communauté de hippies. Les magasins de Katmandou n’apporte pas grand chose, si ce n’est le charme de la ville avec tous ces mini-markets. Mais la valeur ajoutée est bien le birdworld qui rassemble une multitude d’oiseaux d’Australie. Ils ont d’ailleurs l’habitude des visiteurs et perroquets, perruches viennent se poser sur votre épaule ou votre tête. 2 magnifiques perroquets se sont pris d’affection pour Bruno, et élus domicile sur lui, nous accompagnant tout au long de la visite. Un vrai plaisir pour découvrir des oiseaux vraiment pas farouches. Le koala garden avait quant à lui moins de charme. Certes on approche de très prêts les koalas, mais la moindre photo avec est payante bien sur. Par contre on peut donner à manger ou caresser les kangourous.
Après cette matinée animalière, route vers notre dernière étape : Port Douglas, bande de terre la plus proche de la barrière de corail. Petite ville fort sympathique, animée et agréablement agrémentée.
J18 – Survol de la barrière de corial et snorkling
Une météo pas tout a fait favorable, mai un superbe vol en hélicoptère au dessus de la forêt primaire ( rivière de Daintree) puis sur la grande barrière de corail. Mélange de couleurs et on se sent vraiment tout petit devant l’immensité de l’océan.
Atterrissage sur une plateforme en plein milieu de l’océan pour profiter des fonds marins en snorkling. Idéale pour une dernière journée, même si le soleil n’était pas vraiment avec nous.
Dernière soirée en ville autour d’un bon steak australien (presqu’à la hauteur de la viande de l’Argentine. Demain dernières emplettes et c’est réparti pour 25h de vol.
J10 – Dernières emplettes
Encore une matinée à Cairns pour nos dernières emplettes.
Ballade, Shopping et bien sur notre coup de foudre un didjeridoo.
Voilà c’est fait. Un repas avant les 25h de vol, une glace face à la mer …
Voilà les galères commencent. Le vol pour Melbourne est annulé. Ouf il nous trouve un vol qui fait Cairns / Brisbane / Dubaï / Paris. Les temps de vols sont un peu moins longs, compensés par les temps de transit. Ben voilà, ils voulaient pas nous garder en Australie. On espère qu’ils vont compenser en nous surclassant, mais l’espoir fait vivre, il n’en est rien
J20 – Dubaï
Après 14h de vol, nous voilà à Dubaï où il est 4h30 du mat.
Ici tout est démesuré. Vous demandez un café, on vous sert un bol, vous demandez un verre d’eau, on vous sert un sceau. Aéroport gigantesque. Fontaines sur tous les murs et des boutiques ouvertes par cette heure très matinale. 4h de transit, avant de prendre le vol pour Paris. A force on ne sait plus très bien les jours, les décalages horaires, on aspire qu’à une chose : retrouver son lit.